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Le peuple doit trancher !

Les brassages de population liés à une immigration massive le plus souvent due à une fuite éperdue devant la misère, les guerres, les dictatures, les conflits inter-ethniques, les changements climatiques, de populations entières venant du Maghreb, d’Afrique noire, du Moyen Orient amènent à opposer deux attitudes contradictoires.

On peut parfaitement dire : « La planète appartient à toute l’humanité et chaque être humain quelle que soit son origine, sa race, sa religion, la couleur de sa peau a le droit de s’installer là où il veut sur tout espace libre qu’il pourra trouver sur Terre »

 

On peut dire aussi : « Nous sommes ici chez nous et nous voulons le rester. Quel que soit le passé de notre peuple, aujourd’hui nous ne voulons dominer personne ni n’être dominé par personne mais conserver sur notre territoire notre civilisation et notre mode de vie »

Mais comment ne pas constater que l’état économique, social et financier de la France ne nous permet plus de faire face aux besoins que tout humaniste voudrait satisfaire pour améliorer le « Vivre ensemble » avec des immigrés non-sollicités en vue d’éviter les conséquences d’une invasion trop nombreuse : violence, délinquance, séparatisme, islamisme radical, terrorisme… 

Il faudrait en effet davantage de professeurs pour améliorer l’éducation, davantage d’emplois et de logements pour favoriser l’intégration, davantage de policiers de proximité pour encadrer les bandes.

La question fondamentale reste posée : Peut-on encore le faire ? et la question subsidiaire : Veut-on vraiment le faire ?

Les réponses à ces questions ne mettent en rien en cause la nature et la respectabilité des identités différentes qui sont en contact et rejettent toute référence à une identité nationale racialiste qui se prétendrait supérieure.

Mais ce n’est pas une raison pour laisser une minorité bruyante instrumentaliser les réseaux sociaux en stigmatisant ces Français qui ne voudraient pas accueillir chez eux un nombre illimité d’étrangers quitte à y perdre leur propre identité.

Certes nous devons avec réalisme examiner la situation telle qu’elle se présente aujourd’hui et pleinement assumer nos devoirs envers ceux que nous avons accueillis ou laissés entrer hier.

Mais face à un véritable « processus de changement de peuple » actuellement en marche dû pour partie à la poursuite de cette immigration incontrôlée et pour partie à l’échec sévère de l’assimilation ou au moins de l’intégration des prédécesseurs, on est bien forcé de constater que ces nouveaux immigrés comme parfois ces nouveaux Français de la deuxième ou de la troisième génération se sentent souvent si peu concernés par notre Patrie qu’ils en deviennent de véritables « étrangers de l’intérieur ».

Entre le racialisme aux relents néo-nazis d’Orban et l’aspiration à la créolisation de Mélenchon, n’y a-t-il pas pourtant un juste milieu ?

C’est au peuple français de le dire, en lui demandant par référendum de décider si nous devons laisser les portes grandes ouvertes à tous les peuples en en acceptant les conséquences ou si au contraire nous devons exclusivement consacrer les efforts que ce même peuple français pourra supporter pour un retour à une cohésion nationale luttant contre tous les séparatismes.

Les délinquants, les criminels, les extrémistes religieux ou non détruisent notre tissu social. Nous devons arrêter les uns et ne pas en laisser venir potentiellement les autres car une majorité silencieuse ne peut pas indéfiniment rester passive quand une minorité bruyante sape les fondements de sa civilisation.

Nous devrons l’ai-je assez répété :

  • Poursuivre et amplifier nos efforts pour la coopération et le développement local des pays d’immigration afin que leurs autochtones puissent vivre dignement en paix sur leur sol
  • Former largement des étudiants étrangers sous condition expresse sauf rares exceptions qu’ils retournent ensuite dans leurs pays d’origine qui a grand besoin d’eux
  • Constater qu’avec nos cohortes de chômeurs l’immigration de travail n’est plus une chance pour la France bien au contraire même dans les métiers « en tension » qui ne le seraient plus si on revoyait salaires et conditions de travail
  • Faire en sorte qu’aucune forme de discrimination ne frappe les enfants d’immigrés nés sur notre sol qui choisiront à 16 ans s’ils le veulent de devenir Français sous réserve de s’être correctement assimilés.

Quelques questions qui pourraient être posées après des débats télévisés ouverts à tous les partis

  • Voulez-vous mettre fin à l’insécurité lorsqu’elle naît de l’immigration et renvoyer chez eux les clandestins délinquants et les immigrés condamnés pour crime ?
  • Voulez-vous voir disparaître au besoin en faisant appel à l’armée les territoires perdus de la République aux mains des narco-trafiquants ?
  • Voulez-vous faire cesser toute forme d’immigration supplémentaire non-sollicitée tant qu’une intégration véritable des premiers arrivants n’aura pas été constatée ?
  • Voulez-vous qu’une aide généreuse permette aux populations étrangères vivant sous la contrainte, de pouvoir s’épanouir dignement en paix sur leur territoire ?
  • Voulez-vous que les enfants d’immigrés devenus Français puissent être préservés de toute forme de discrimination ?
  • Voulez-vous que notre civilisation perdure et soit activement préservée des communautarismes importés ?

Plutôt que de demander aux électeurs de répondre à une série de questions qui auraient été précédées d’un large débat, le plus simple serait de leur proposer une loi constitutionnelle reprenant ces thèmes qu’ils accepteraient ou refuseraient

Pierre Chastanier, 26 avril 2024

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