Que choisir : la répression ou l’abandon ?
Que choisir : la répression ou l’abandon ?
On constate avec tristesse les difficultés sociétales qui s’amoncellent.
Non pas, bien sûr, les guerres internes entre Insoumis et Ecologistes qui finiront bien par s’éteindre tant les sarcasmes des Sandrine Rousseau, Clémentine Autain, ou autres finiront par lasser les Français mais dans les oppositions quotidiennes aux lois et valeurs de la République : foulards islamiques, trafic de drogues, refus d’obtempérer, crimes de rue, attentats terroristes…
Que faut-il faire ? N’est-il pas déjà trop tard pour prendre certaines décisions ?
Qu’on en juge ! Il n’y a pas 36 solutions :
Soit on considère que la société française est devenue multiculturelle et alors tolérons qu’on porte à sa guise foulard, kippa, croix, turban ou autres signes d’appartenance religieuse, tant pis si cela entraîne des conflits entre communautés et permet des pratiques que beaucoup réprouvent (polygamie, excision, infériorité des femmes, traque des homosexuels, usage de drogues…)
Soit on considère que les valeurs culturelles et morales de la France doivent être respectées et on ne peut plus accepter les dealers installés au bas des immeubles, le foulard imposé à des gamines, l’endoctrinement des fidèles dans certaines mosquées, la sauvagerie des jeunes délinquants (rodéos, bagarres de rues, attaques de personnes âgées…)
Comme tout part à vau-l’eau, il conviendrait donc de demander aux Français dans quelle société ils veulent vivre, à l’école, dans les quartiers, sur la route, face aux forces de l’ordre, …. et après un long débat télévisé où chaque partie (et parti) pourrait s’exprimer trancher définitivement par un référendum.
Certains pays qui ont pourtant été extrêmement libéraux comme la Suède, tentent avec difficultés de revenir en arrière, des Etats voisins comme la Belgique où depuis plusieurs années l’islamisation marche à bon train, essayent d’enrayer ce « grand remplacement » et d’autres, comme l’Italie, n’arrivent pas à mettre en œuvre la politique qui les a amenés au pouvoir car l’UE leur tord le bras pour leur faire accepter une immigration qu’elle ne veut pas endiguer.
L’urgence est désormais telle qu’il faut choisir.
Demain on ira à l’école en uniforme (ceux de mon âge se souviennent de la blouse grise d’autrefois) où chacun ira avec les habits folkloriques de son pays d’origine même si les cours de récréation se transforment en combats de rues !
Demain on arrêtera (au besoin avec l’aide de l’armée) les trafiquants de drogues qui « dealent » au bas des immeubles ou l’on dira aux personnes âgées que cela incommode que les temps ont changé et qu’elles feraient mieux de déménager.
Demain on permettra toutes les libertés ou l’on punira ceux qui veulent opprimer les femmes et interdire, même dans la sphère privée, les choix individuels d’un mode de vie ou d’une religion,
Demain régnera la liberté dans le respect des lois et des valeurs civilisationnelles qui ont fait la France ou la règle du « Chacun pour soi » même si elle piétine nos traditions.
Il est vraiment temps de choisir et d’en tirer ensuite les conséquences !
Le Président de la République dont la cote de popularité ne cesse de baiser n’envisage pas, semble-t-il, après sa défaite annoncée aux Européennes de Juin, de redonner la parole aux Français en dissolvant l’Assemblée Nationale pour tenter de retrouver une majorité qu’elle lui soit favorable ou hostile (cohabitation) dont le Pays a besoin tant qu’il reste dans la Vème République.
Alors, soit il finira son mandat dans la lassitude et l’abstention des Français, soit renaîtra un courant d’opposition (Gilets Jaunes, Syndicats, Hospitaliers, Retraités, Agriculteurs) qui en cas de convergence des luttes pourrait amener à de violents affrontements.
Pierre Chastanier, 6 mai 2024