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Que faire dans ce monde insensé ?

Telle est la question qui pèse lourdement sur nos consciences collectives :

« Que faire dans ce monde insensé ? »

Les événements d’hier et d’aujourd’hui tissent un récit complexe où la douleur et l’espoir se rencontrent à chaque chapitre.

Depuis plus de soixante-dix ans, le conflit israélo-palestinien persiste, un symbole poignant des luttes interminables qui défient nos aspirations à la paix.

Les répercussions de ce conflit et de ceux en Libye, Afghanistan, Irak et Syrie se font sentir à travers l’immigration sauvage où les individus cherchent désespérément la sécurité loin de leurs foyers brisés.

Aujourd’hui, la guerre en Ukraine résonne comme un écho brutal de l’histoire, nous rappelant que la souveraineté et la paix restent précaires.

Dans le même temps, nous assistons à une montée alarmante de l’antisémitisme, transformant même Israël, ce refuge pour tant de Juifs, en un lieu de crainte.

À Gaza, cependant, les bombardements sur les populations civiles nous confrontent à l’urgente nécessité d’humaniser la guerre !

Et pendant ce temps, des concepts comme le wokisme émergent, souvent utilisés à des fins politiques plutôt que comme des appels à la justice sociale.

En Afrique, une démographie galopante incapable de permettre l’autosuffisance alimentaire pose la question de la durabilité de notre modèle de développement actuel.

À l’opposé, nous assistons à la montée des BRICS, qui redéfinissent les équilibres économiques mondiaux, tandis que l’Occident lutte contre une dette astronomique et la chute de son influence.

Les Fake News, un fléau de notre époque, continuent d’alimenter la méfiance et la désinformation à travers les médias.

Et avec les GAFAM et les BATX, leur équivalent asiatique, devenant plus puissants que de nombreux États, nous devons nous demander :

Qui détient réellement le pouvoir ?

L’ONU, malgré son noble objectif de maintenir la paix et la sécurité internationales, semble paralysée, incapable de répondre efficacement aux crises mondiales.

Et pendant ce temps, le transhumanisme et les technologies émergentes nous poussent à redéfinir ce que signifie être humain.

Aldous Huxley et Georges Orwell nous ont pourtant alertés en peignant un monde à deux vitesses, un monde où la vérité et la liberté sont constamment en jeu.

Mais nous ne sommes pas des personnages de fiction ; nous sommes des acteurs de la réalité, et il est temps d’innover et d’agir.

Pour sortir de ce marasme, nous devons embrasser des solutions originales où notre quête ne doit pas se limiter à de simples déclarations d’intention.

Nous avons besoin d’actions concrètes, d’initiatives audacieuses qui s’attaquent à la racine des maux qui affligent notre société.

Pour combattre les dictatures, nous devons promouvoir et défendre la démocratie à travers le monde, non pas par la force des armes, mais par la force de l’exemple, l’éducation et le soutien aux mouvements pacifiques et démocratiques.

Cela implique de renforcer la société civile, de soutenir les médias indépendants et de protéger les lanceurs d’alerte qui sont souvent les premiers remparts contre l’autoritarisme.

Face aux oligarchies, la solution réside dans la transparence et la réglementation. Nous devons exiger la transparence financière globale et lutter contre les paradis fiscaux qui permettent aux élites de prospérer aux dépens du bien commun.

Des lois antitrust plus strictes peuvent freiner la concentration du pouvoir économique, tout en promouvant une véritable concurrence qui stimule l’innovation et l’équité.

Pour limiter le poids des milliardaires dans la politique, nous devons réformer le financement des campagnes électorales, instaurer des plafonds de dons et surtout renforcer les lois sur le lobbying.

De plus, il est essentiel d’instaurer une fiscalité progressive plus stricte, où ceux qui ont le plus contribuent le plus, et où la richesse ne peut pas être accumulée indéfiniment sans apporter de bénéfice à la société dans son ensemble.

Quant à l’égoïsme des Etats, le remède se trouve sinon dans une gouvernance mondiale renforcée qui reste utopique mais au moins dans une coopération internationale accrue.

Les accords multilatéraux doivent être respectés et valorisés. Nous devons repenser les institutions comme l’ONU pour qu’elles soient plus représentatives et capables d’agir plus efficacement contre les injustices et les abus de pouvoir.

Cela signifie aussi responsabiliser les Etats, non seulement devant leurs citoyens mais aussi devant la communauté internationale, pour leurs actions et leurs politiques.

Pour mettre en œuvre ces solutions, nous avons besoin d’un nouvel engagement civique à tous les niveaux de la société.

Chacun de nous doit s’impliquer dans les affaires publiques, que ce soit en votant, en militant, ou en prenant la parole.

L’éducation doit être au cœur de ce changement, en formant des citoyens du monde critiques et informés, capables de comprendre et de défier les structures de pouvoir.

Enfin, il est temps d’envisager de nouvelles formes de solidarité internationale, comme une taxe sur les transactions financières pour financer le développement mondial, ou encore un revenu de base universel minimum pour combattre la pauvreté et l’exclusion.

C’est par ces mesures structurantes que nous pourrons réorienter le cours de notre histoire.

Cela demandera du courage, de la détermination et un engagement inébranlable envers les principes de justice et d’équité.

Mais l’histoire nous a montré que le progrès est possible lorsque les hommes et les femmes de bonne volonté s’unissent pour le changement.

Pierre Chastanier, 7 Novembre 2023

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